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À Saint-Nazaire, l’amiante est l’une des causes de surmortalité

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Les chiffres de surmortalité dans le bassin de Saint-Nazaire diffusés par Ouest-France font aussi écho au combat mené depuis des années par les victimes de l’amiante.

« Se battre pour l’emploi, oui. Mais pas à n’importe quel prix. » Telle est la position de Patrick Hamon, le président, pour quelques semaines encore, de l’Andeva 44 qui se bat depuis des dizaines d’années pour défendre les victimes de l’amiante.

La forte présence industrielle dans le bassin nazairien a aussi influé sur le nombre de personnes touchées par ce fléau. « Les chantiers navals et leurs sous-traitants ont longtemps utilisé l’amiante avant son interdiction, rappelle le président. D’où le nombre important de victimes dans le secteur. »

À Saint-Nazaire, l’amiante est l’une des causes de surmortalité

Depuis sa création, la section de l’Andeva a atteint les 6 000 dossiers traités, notamment pour obtenir des indemnisations. « La particularité, c’est que les maladies se déclarent longtemps après que la personne a été en contact avec le matériau, parfois plusieurs dizaines d’années. Longtemps, on a eu des maladies relativement « bénignes ». Désormais, les gens sont plus âgés et depuis deux ans, on constate surtout des pathologies lourdes, cancer bronchio-pulmonaire et cancers de la plèvre, typiquement dû à l’amiante. »

Retrouvez l’intégralité de l’article sur Ouest-France.fr

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